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dimanche 29 mars 2009


Il y a des jours avec et des jours sans.
Ou des successions de jours sans.

Qui sème le vent récolte la tempête, dit-on.
La bourrasque m'a cueillie au vol et applatie au sol.



Il faudra encore attendre un peu.
Que je remonte.
Et que je cesse d'écouter ces musiques.


samedi 21 mars 2009

Again & again. ♥ 23:54

1 bisou(s) sur la joue

Comment expliquer ce caractère de merde. Pourquoi je dois forcément me sentir exclue, quand je lis ceci, cela, quand je regarde telle ou telle photo, je me retrouve à me sentir totalement malheureuse, alors que c'est vraiment idiot. Elle, elle, et elle. Et moi, dans tout ça ? Et moi, je reste sur la touche, et je vous regarde vous éclater, vous aimer, et vous le dire. C'est idiot. C'est ridicule. Mais c'est plus fort que moi. Je me déteste d'être capable de ressentir des sentiments aussi absurdes et égoïstes.
Oui, je m'amuse bien. Non, je n'ai pas l'impression de faire partie de votre tout. Oui, je m'en veux de vous en vouloir. Non, je ne peux pas m'en empêcher.

Souffrir en silence, dans le silence des mots que vous m'adressez. Votre cécité contre ma tristesse. 1-0.

Alors on se noie dans ce qu'on peut. La musique, surtout. Et tout ce qui peut faire oublier. Vous, notamment. Quoi qu'on en dise, c'est vous qui savez me remonter le moral. Il suffit de 5 minutes. Et tout revient.

Et mine de rien, tout ça c'est déprimant. Dire que j'ai besoin d'autre chose... Voilà aussi pourquoi j'aurais voulu monter sur Paris. Tout recommencer, repartir de zéro. Et voir... voir qui aurait su rester là. Être là.


Des envies d'ailleurs. Se voir pousser des ailes, et partir loin, loin, loin. Somewhere over the rainbow, comme dirait l'autre...

Mais comment vous dire, comment vous expliquer que je ne me sens pas à l'aise, alors que c'est parmi vous que j'ai grandi ? Vous avez fait celle que je suis, et celle que je deviens, vous avez accompagné mes premiers balbutiements dans un monde adolescent où je menaçais de me perdre. Et cette impression de vous voir toujours plus partir, toujours plus loin...
Ca peut paraître contradictoire, au vu de ce que j'ai écrit précédemment, mais je n'ai pas envie de vous perdre, loin de là. Il y a déjà eux. Que j'ai perdu de vue, bien malgré moi, qui mettent une semaine à répondre à mes messages quand ils y répondent. J'arrive à me souvenir de toutes les belles choses, mais j'ai mes regrets ; on avait dit qu'on se parlerait toujours... On s'était promis de belles choses. C'était nous. Et je voulais qu'on reste nous, au lieu de devenir... Vous. Et moi.

Je m'en veux tellement, de m'attacher à des symboles ridicules qui n'avaient de sens que tant qu'on y croyait. Ces lettres qui étaient nous, et qu'on aimait écrire partout où l'on passait, pour graver quelque part les mots de notre amitié. C'était beau, c'était l'époque où la jeunesse croit à tout, même à l'amitié éternelle, et moi je voulais y croire ; je veux toujours y croire, mais les promesses ont fané dans l'ombre de nos sourires. C'est dommage, car j'ai osé rêver des mois et des années durant, rêver de nous et encore de nous, plus vieux, plus adultes, mais toujours aussi cons, toujours autant nous. Try again.

C'est ridicule. Je déteste m'apitoyer sur mon sort comme ça, mais des fois il y a un trop plein, un genre de quelque chose qui donne envie de pleurer sans jamais s'arrêter. Mais je n'y arrive pas, c'est une forme de lâcheté. Je suis trop lâche pour oser tomber dans vos bras, et chialer un bon coup, me laisser consoler par vos paroles qui sonneraient creux.
Et puis je suis dans une période où rien ne va. Ni ici, ni ailleurs.

Mais ça ne servira à rien. On ne force pas les gens à faire attention à soi. D'ailleurs, ça m'ennuierait de quémander votre pitié. D'ailleurs, je n'en veux pas.


lundi 16 mars 2009

Just a dream. ♥ 21:30

1 bisou(s) sur la joue

Je hais tout ça.

Je les hais de m'interdire l'accès à mes rêves. Je me hais de devoir y renoncer.

Renoncer à mes rêves ; mon rêve.

Être à Paris. M'endormir en pensant "je suis à Paris", me réveiller en pensant "je suis à Paris", fouler le sol de Paris, marcher dans Paris la nuit, voir la tour Eiffel, la voir encore, et la revoir, rire et parler à Paris, chanter sous la pluie de Paris, écouter de la musique à Paris, lire, dessiner et écrire à Paris. Me promener main dans la main avec quelqu'un dans les rues de Paris, l'embrasser sur les plus belles places de la ville, me jeter dans ses bras et dire que j'aime ces rues qui s'étendent sous mes pas. Marcher dans la ville en regardant ses murs avec mes yeux d'enfants, m'émerveiller devant la beauté d'un nuage dans le ciel de Paris, me voir dans le reflet d'une vitrine de Paris, m'asseoir à la terasse d'un café de Paris, regarder passer les parisiens, sourire. Vivre à Paris.

Un rêve parti en fumée à cause de six mots. Tu n'as pas le choix.


samedi 14 mars 2009

At last ! ♥ 05:06

0 bisou(s) sur la joue

Eh oui, enfin ! J'aurais mis le temps à lâcher la vieille carcasse ambulante qu'est Skyblog. Même si je dois avouer que ouf, c'est beaucoup plus facile là-bas, parce qu'il faut dire ce qui est, ce skin m'a pris la tête au possible, avec ces histoires de chatbox colorée, et de playlist deezer dont on ne peut pas changer les couleurs (merci Jiwa XD) :O

En tout cas c'est un peu délicat de commencer un blog, je trouve, il y a un espèce de trou noir sur le premier article, non ? C'est pas le premier, mais on va oublier ceux où il y a "Ici vous aurez des photos de mes amis et moi, et bienvenue sur ce blog" de mes vieux trucs *siffle*

Basta. Des bouts de ma vie éparpillés ici, entre de la musique, des films, des livres, des gens, des rencontres et un monde ailleurs, unique, dans lequel je n'aurais jamais cru me perdre.