london
<xmp> <body><script type="text/javascript"> function setAttributeOnload(object, attribute, val) { if(window.addEventListener) { window.addEventListener('load', function(){ object[attribute] = val; }, false); } else { window.attachEvent('onload', function(){ object[attribute] = val; }); } } </script> <div id="navbar-iframe-container"></div> <script type="text/javascript" src="https://apis.google.com/js/platform.js"></script> <script type="text/javascript"> gapi.load("gapi.iframes:gapi.iframes.style.bubble", function() { if (gapi.iframes && gapi.iframes.getContext) { gapi.iframes.getContext().openChild({ url: 'https://www.blogger.com/navbar.g?targetBlogID\x3d2381922226099456236\x26blogName\x3dThat\x27s+all+Folks+!\x26publishMode\x3dPUBLISH_MODE_BLOGSPOT\x26navbarType\x3dBLUE\x26layoutType\x3dCLASSIC\x26searchRoot\x3dhttps://that-s-all-folks.blogspot.com/search\x26blogLocale\x3dfr\x26v\x3d2\x26homepageUrl\x3dhttp://that-s-all-folks.blogspot.com/\x26vt\x3d648497770162812125', where: document.getElementById("navbar-iframe-container"), id: "navbar-iframe" }); } }); </script> </xmp>
♥ Welcome

Always fun

♥ Coming soon

30.06.09-06.07.09. PARIS. <3
26.06.10. INDOCHINE.

♥ Music

Le pot pourri de mes chansons du moment.


♥ Desires

PARIS, LONDON, NEW-YORK, TOKYO, DUBLIN, BUDAPEST, VENISE & more...


♥ Click

Nora. De là, vous irez partout.

Julie. La même chose.

"J'ai la flemme mais c'est une maladie". © TTC


♥ To say Hello



♥ Past

mars 2009
avril 2009
mai 2009
juin 2009
juillet 2009
septembre 2009
novembre 2009
décembre 2009
janvier 2010
février 2010
mars 2010
avril 2010
mai 2010
septembre 2010
octobre 2010


♥ Layout

Designer: Lady-Nadya
Images: 1 | 2 | 3 | 4 | 5
Brushes: 1 | 2
Font: DaFont
Base Codes: kynzgerl

mardi 26 mai 2009

100% de malades, contamination par voie manuscrite... ♥ 17:58

27 bisou(s) sur la joue

... ou le virus qui ravage les blogs.

Parce que j'ai laissé des commentaires sur vos blogs, et que les règles du jeu sont claires, me voilà obligée de poster ceci ici.

Si tu postes un commentaire sur ce billet...

1. Je répondrai par quelque chose au hasard sur toi.
2. Je te dirai à quel chanson/film tu me fais penser.
3. Je choisirai un parfum de gelée dans lequel on pourrait combattre.
4. Je dirai quelque chose que seul toi et moi pouvons comprendre.
5. Je te raconterai mon premier souvenir de toi.
6. Je te dirai à quel animal tu me fais penser.
7. Je te poserai une question sur quelque chose que je me suis toujours demandée à ton propos.
8. Je te dirai ce que je préfère le plus chez toi.
9. Je te dirai ce que je préfère le moins chez toi.
10. Si tu joues, tu DOIS poster ceci sur ton blog à ton tour.



... ENJOY.


dimanche 24 mai 2009

Procrastination. ♥ 11:09

6 bisou(s) sur la joue

Je me suis connectée quelques minutes sur msn pour voir qui était là, puis je me suis mise en absente, en me disant que j'allais travailler. La procrastination aidant, j'ai commencé à regarder un blog, puis l'autre... Et l'effet domino est là, je me retrouve à écrire un billet sur le mien. Je me rends compte que ça fait quelque temps que je n'ai pas écrit, mais je voulais attendre d'avoir le moral au beau fixe pour ne pas plomber davantage ce blog, qui me semblait être un dévidoir à pensées négatives, et donc un lieu pas très agréable à visiter.

Je ne sais pas si je suis dans le bon état d'esprit ou pas, mais peu importe.

Récemment il m'est arrivé, donc, beaucoup de choses. Certaines déprimantes, d'autres, au contraire, m'ont redonné le sourire. Par quoi, par où commencer ?

16 Mai, j'ai passé mon concours pour cette école d'architecture. Quand je vois que j'ai passé la soirée, et la journée du lendemain, dans mon lit, dans le noir, à - pleurer - déprimer... J'ai peur.
Lors de l'inscription, je leur ai envoyé deux enveloppes timbrées avec mon adresse, l'une d'elles a servi à m'envoyer la convocation, la deuxième contiendra mon acception - ou, à 90% de chances, le refus. Ils ont dit qu'ils enverraient le résultat à la mi-juin. Mi-juin. S'ils ne sont pas en retard, mais je pense qu'ils le seront, cela signifie vraisemblablement avant le bac. Juste quelques jours. Juste un. Ou juste en plein milieu.
Et si je ne suis pas prise ? A quel point ce refus affectera-t-il mon humeur, ma concentration, les épreuves de mon bac ? Je suis déjà suffisamment stressée, je dors peu - si peu -, je n'arrive pas à travailler... Stressée, oh oui. On me l'a déjà beaucoup dit. Et cela fait des mois que je suis dans cet état permanent de fébrilité. J'ai les mains qui tremblent, j'ai le sommeil troublé - je n'arrive pas à dormir, je me réveille souvent -, je ne tiens plus en place, je bouge sans cesse, je n'arrive plus à fixer mon attention sur quelque chose... Je somatise, d'où ces maux de ventre, ces migraines... A quel point cet état va-t-il me faire échouer mon bac ?
A une époque je pensais avec certitude que je l'aurais. Mais étant donné les derniers cartons que je me suis pris, cette certitude est-elle permise ? J'ai osé rêver à une mention qui me rendrait fière de moi, osé rêver reprendre confiance en moi.

Il semblerait que désormais, nul rêve ne soit plus accepté.

J'en ai marre de ne jamais être satisfaite de ce que j'entreprends, ce que je fais. J'ai cru pouvoir réussir ce concours. J'ai espéré. On me dit "ne pars pas défaitiste, attends les résultats". Chaque jour qui passe rend la possibilité d'avoir réussi plus mince. Un petit fil d'espoir qui s'accroche, quelque part dans mon coeur, mais qui, tous les jours, s'amenuise, se réduit... Restera-t-il un soupçon de foi, lorsque la lettre arrivera ?
J'essaye de positiver, je me dis qu'au moins, je n'aurai pas de déception. Si je ne suis pas reçue, je m'y serais attendue, et si je suis prise, alors ce sera une très bonne surprise - et encore, il semblerait que les mots soient faibles devant ce que je ressentirais.
Je ne me suis pas rendue compte de mon désir d'aller en architecture, jusqu'à ce jour. Et plus le temps passe, plus j'ai peur. Une telle incertitude, c'en est presque douloureux.

Où irais-je, si je ne suis pas prise ? Fac d'histoire de l'art ? Mais pour moi, ce n'est qu'une voie de garage, je ne compte pas faire mes études là-dedans. Ce n'est que le temps de retenter le concours. Mais si je le rate une fois, pourrais-je l'avoir la seconde fois ? Et si je le rate de nouveau ? Que ferais-je, alors ?...

J'ai l'impression de n'être plus que questions.
Je ne suis plus qu'inquiétude.

J'essaye de travailler. J'ai envie de m'y mettre. Mais je n'y arrive pas. Je suis devant ma feuille, mon cours à côté de moi, une annale ouverte devant, mais je n'y arrive pas. Rien ne rentre, je pense à mille choses, dont certaines pas très agréables, puis finalement je n'ai plus envie. Je ne retrouve plus la motivation des jours passés.

L'été est là. Il fait chaud. L'autre jour, j'ai mangé des cerises sur l'arbre. Les premières de l'année. Elles ont un goût particulier, à savourer. Gorgées de soleil, d'un bordeau soutenu, elles ont fondu dans ma bouche, déversant leur nectar si particulier. Il était 22 heures, j'étais déprimée, et ma mère m'a emmenée dans les champs.

Pour mon anniversaire, avec l'argent que j'ai reçu, j'ai décidé d'aller faire du shopping. Je me suis acheté de jolies choses, mais l'argent fond comme neige au soleil. Je me suis offert la trilogie Nikopol de Bilal. 40 euros, mais je suis heureuse de l'avoir. J'ai toujours vénéré Bilal. J'admire ce qu'il fait. (Nana, je te promets que je t'envoie un dessin.)

Les choses positives sont nombreuses, elles ont d'immenses rameaux qui s'étendent. Mais elles sont ponctuelles. La tristesse et le doute, quant à eux, sont vicieux, insidieux.

J'ai des projets de vacances. Ely, Budapest with you.
Présentement, mon séjour à Paris. Je pense que vous n'avez pas idée d'à quel point j'attends ces quelques jours en votre compagnie.
Pour l'instant, je patiente. Les billets trônent près de mon lit. Chaque fois que je jette un coup d'oeil dessus, ils me mettent du baume au coeur. Non seulement le 30 Juin tout sera fini - sauf si je rate mon bac, mais ça, c'est une éventualité que je refuse de considérer -, mais en plus je serai avec vous. C'est une promesse qui me donne envie d'y croire, non seulement en vous, mais aussi en tout.

Le billet sur le blog de Mylou, où elle parle des deux vies qui se rencontrent... C'est ça... Ce ne sont pas vos coups de fils - au demeurant rares, mais là n'est pas le problème, ni la question -, mais bel et bien le jour où vous ne serez plus seulement des... pseudos et des messages tapés sur un clavier.

Il faut que je vous dise que vos messages de joie lorsque je vous ai annoncé que ma mère me donnait sa bénédiction pour que je monte - et qu'elle payait même les billets -, ils ont une saveur particulière. Celle de se sentir... entourée.
Parce que j'en ai marre de me sentir transparente. Seule, et ignorée. Si parfois, ce n'est qu'une impression, je sais qu'aux yeux de certain(e)s, c'est une réalité. Je ne correspond sans doute plus à celle que vous avez appréciée, et c'est compréhensible, mais j'ai du mal à tourner les pages. Bien que certains récents évènements m'aient donné matière à penser... C'est pour cela que je voulais partir.

Bâtir quelque chose ailleurs, et reconstruire. Être quelqu'un de nouveau, peut-être ?
Je ne renie personne. Car je ne me suis pas construite seule. Mais je me sens encore un peu fragile, peut-être une anomalie dans les fondations, qui sait ?

J'ai aussi un peu peur. De ne pas être la même. De ne pas correspondre à celle que vous croyez que je suis. Peur d'avoir menti.

Et je me dois de parler de ce colis. J'ai eu les larmes aux yeux en découvrant l'expéditeur (Julie Poussade, to Suzy AlauD. Merci pour la faute :D). J'allais mal. Et tout d'un coup, vous étiez là. Les photos. Vous, tout simplement. Et les cadeaux. Je ne sais pas si je vous remercierai jamais assez pour ça, mais je pense que vous ne saisissez pas la portée de votre geste. Son impact sur moi.

Et deux jours avant, j'avais découvert ça.

Je n'ai qu'un seul mot, c'est merci. Et il est si dérisoire.




(je n'oublie pas qu'il y a le jeu, pire que le virus Ebola dixit Emma... mais ce sera pour plus tard.)


mercredi 6 mai 2009

Pardon, pardon, pardon. ♥ 21:08

2 bisou(s) sur la joue

Je pense que je dois vider mon sac quelque part, je pense qu'ici c'est pas trop mal comme endroit. Je pense que j'arrive pas à en parler clairement, je pense que c'est trop dur et que mine de rien ça me fait beaucoup de mal.

Je pense que j'en ai marre d'être si loin sur l'échelle de la bonne humeur, et que c'est difficile de voir que tout le monde s'en fout. Gardez vos oeillères, les égoïstes. Je ne voudrais pas de vos regards plein de pitié.

Je ne sais pas comment expliquer ça. Certains mots changent de sens, certains mots prennent une direction différente. Mes pensées s'envolent, et fuient loin, plus loin, plus encore. Aux 4 coins de la France, et d'ailleurs. Elles s'enfuient d'ici.
J'ai encore raté une occasion de vous voir devenir autre chose. Passons.

Il n'y a pas que ça, non, oh non, s'il n'y avait que ça, quelle douceur ce serait.

Foutues pseudo-capacités, foutu concours, foutu entretien. Foutue peur au ventre. Foutu pessimisme. Oh, oui. Et foutues pseudo-questions existentielles.

Petites voix insidieuses, venin qui me paralyse, me terrasse. Elles se disputent, elles me rabaissent, elles me font perdre le peu de confiance que j'ai, que j'avais, que je n'ai plus ; elles me terrorisent, le matin, la journée, le soir ; et la nuit, seule mince chance de repos, elles s'insinuent dans mes rêves.

Pourquoi, pourquoi, pourquoi... Comment, de quelle façon, est-ce seulement possible ?

Vous ne désirez que la compagnie de gens heureux. Ceux qui vont mal n'ont pas à exister. C'est sûr que sous un ciel aussi radieux que le votre, il n'y a pas de place pour quelqu'un qui souffre.
Je leur ai parlé. J'ai attendu des réponses, et ne m'est revenu que le silence gêné. Mon incertitude, ma tristesse vous semblent déplacés. J'ai bien compris. Il suffit que je sois la petite rigolote qui dit n'importe quoi, et flirte sans trop réfléchir, et tout ira bien. Pauvre sotte.

Oui. Je râle, je me plains, je m'énerve, je ne parle pas, je parle trop, j'évoque de trop plaisants châteaux en Espagne, douces chimères, tendres rêveries ; oui je suis pénible, je suis chiante, je dérange, je vous dérange. Oh oui, mon dieu, qu'ils prennent de la place, ceux qui dépriment. Tellement, tellement de place. Ils sont envahissants, mais soyez sûrs qu'ils n'aiment pas ça.

Comme j'aimerais vous dire qu'il n'y a pas plus heureux que moi, que le soleil brille dans le ciel, et que ses rayons réchauffent mon coeur, que l'avenir me tend les bras et que je marche vers lui avec confiance... Comme j'aimerais rentrer chez moi, me sentir à l'aise, raconter une fabuleuse journée à ma mère.
Comme j'aimerais cesser de me poser des questions, des questions qui ne reçoivent que des réponses négatives. Comme j'aimerais trouver les mots pour me tirer moi-même de cette impasse. Je ne sais pas où est passée ma vaine insouciance, ni quand elle a disparu, me laissant en proie à mes doutes, si nombreux.
Plus j'y réfléchis, plus la réponse qui m'apparaît clairement est que de toutes façons, rien n'est plus possible. A quoi bon m'accrocher et jouer, puisqu'au fond, les cartes sont tirées ?

Je n'y crois pas.
Plus.
C'est dommage.

J'en attends trop, j'en demande trop, je suis trop avide, trop gourmande ; forcément je suis déçue, car je n'ai pas déployé tous les moyens dont je disposais pour arriver à mon but.

Chaque échec laisse un sillon brûlant d'amertume sur mon visage. C'est tellement triste de ne pas être capable de retenir toutes ces larmes.

Je crois que le pire, dans tout ça, c'est que je me fais pitié.
Le billet plein d'espoir et de joie, ce sera pour plus tard.