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vendredi 27 novembre 2009

Je ne demande rien de plus qu'un sourire lancé dans le vent ♥ 19:17

2 bisou(s) sur la joue

Regarde, il gèle, là sous mes yeux, des stalactites de rêves trop vieux, toutes ces promesses qui s'évaporent vers d'autres ciels, vers d'autres ports, et mes rêves s'accrochent à tes phalanges, je t'aime trop fort, ça te dérange, et mes rêves se brisent sur tes phalanges, je t'aime trop fort mon ange, mon ange ; des mille saveurs une seule me touche, lorsque tes lèvres effleurent ma bouche, de tous ces vents un seul m'emporte, lorsque ton ombre passe ma porte, et mes rêves s'accrochent à tes phalanges, je t'aime trop fort, ça te dérange, et mes rêves se brisent sur tes phalanges, je t'aime trop fort mon ange, mon ange ; prend mes soupirs, donne-moi des larmes, à trop mourir on pose les armes, respire encore, mon doux mensonge, que sous ton souffle le temps s'allonge, et mes rêves s'accrochent à tes phalanges, je t'aime trop fort, ça te dérange, et mes rêves se brisent sur tes phalanges, je t'aime trop fort mon ange, mon ange ; seul[e] sur nos cendres, en équilibre...


mercredi 11 novembre 2009

Corps contre corps ♥ 21:05

0 bisou(s) sur la joue

Se souvenir de la veille.

Se rappeler de la chaleur, de la musique, de l'alcool qui coulait dans mes veines.
Avoir dans l'esprit une succession de moments qui ne sont pas liés entre eux.
Des visages flous, des visages dont on ne se souvient pas, qu'on ne pourrait définir que par un corps contre le sien, une main sur les hanches, et le souffle dans le cou. Des impressions fugaces qui se suivent et s'oublient, qu'on regrette ou qui nous font sourire. Un prénom ou un simple regard.

Arrachez-vous à moi. Ou arrachez-moi.
Je n'aime pas croiser vos yeux dans la rue.
Ca me rend sale.
Détournez-vous de moi.

J'essaye de m'oublier.


mardi 3 novembre 2009


J'ai cru être un ange. J'ai cru à des mots. J'ai cru en toi, et avancé pour toi. J'ai cru à ta main dans la mienne. J'ai gardé précieusement tes promesses en moi. Je me suis émerveillée de souvenirs, d'étoiles dans la nuit, et du brin d'herbe dans mes cheveux. De la coccinelle, de ce livre, de nos rires qui résonnaient. J'ai souri en réponse à ton sourire, et soupiré pour un baiser. J'ai conservé ta voix ancrée en moi. J'ai volontairement fermé les yeux. J'ai apprécié du mieux que j'ai pu nos instants fugaces, et notre éternité. J'ai cru que nous le ferions. Que nous irions vraiment. Ensemble au bout du monde, en fermant les yeux... Je me suis enfermée dans tes bras, et emplie de ton odeur. Je me suis jetée du haut de la falaise. J'ai eu peur. J'ai pensé être capable de tout. J'ai attendu. Longtemps. Pour chaque fois m'étonner à nouveau de tes yeux et de cette mèche folle. Je suis partie et revenue, mais j'avais peur. Je te l'ai dit. Je t'ai tout dit et tout donné. J'ai cru que tu me donnerais tout. Je croyais être un ange.

Puis j'ai pleuré de rage et de tristesse. J'ai pleuré sur moi, sur nous, et sur le temps perdu. J'ai pleuré de voir ton grand dos s'éloigner, pour ne pas revenir.
J'ai pleuré sur le silence, l'absence, le manque.

Je peux maintenant y penser sans douleur, sans rancune, sans amertume. Tu as été ma destination, mon point de départ, et mon moteur. Tu as mis un point final à une histoire ; et j'ai fini par mettre ma propre fin derrière.

J'y crois de nouveau. Je t'attends ; promet-moi que j'y croirai encore après. Je t'attendrai aussi longtemps qu'il le faudra, car tu m'as dit que tu viendrais. Mais ne me déçois pas, j'ai peur de pleurer encore.