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mercredi 6 mai 2009

Pardon, pardon, pardon. ♥ 21:08

2 bisou(s) sur la joue

Je pense que je dois vider mon sac quelque part, je pense qu'ici c'est pas trop mal comme endroit. Je pense que j'arrive pas à en parler clairement, je pense que c'est trop dur et que mine de rien ça me fait beaucoup de mal.

Je pense que j'en ai marre d'être si loin sur l'échelle de la bonne humeur, et que c'est difficile de voir que tout le monde s'en fout. Gardez vos oeillères, les égoïstes. Je ne voudrais pas de vos regards plein de pitié.

Je ne sais pas comment expliquer ça. Certains mots changent de sens, certains mots prennent une direction différente. Mes pensées s'envolent, et fuient loin, plus loin, plus encore. Aux 4 coins de la France, et d'ailleurs. Elles s'enfuient d'ici.
J'ai encore raté une occasion de vous voir devenir autre chose. Passons.

Il n'y a pas que ça, non, oh non, s'il n'y avait que ça, quelle douceur ce serait.

Foutues pseudo-capacités, foutu concours, foutu entretien. Foutue peur au ventre. Foutu pessimisme. Oh, oui. Et foutues pseudo-questions existentielles.

Petites voix insidieuses, venin qui me paralyse, me terrasse. Elles se disputent, elles me rabaissent, elles me font perdre le peu de confiance que j'ai, que j'avais, que je n'ai plus ; elles me terrorisent, le matin, la journée, le soir ; et la nuit, seule mince chance de repos, elles s'insinuent dans mes rêves.

Pourquoi, pourquoi, pourquoi... Comment, de quelle façon, est-ce seulement possible ?

Vous ne désirez que la compagnie de gens heureux. Ceux qui vont mal n'ont pas à exister. C'est sûr que sous un ciel aussi radieux que le votre, il n'y a pas de place pour quelqu'un qui souffre.
Je leur ai parlé. J'ai attendu des réponses, et ne m'est revenu que le silence gêné. Mon incertitude, ma tristesse vous semblent déplacés. J'ai bien compris. Il suffit que je sois la petite rigolote qui dit n'importe quoi, et flirte sans trop réfléchir, et tout ira bien. Pauvre sotte.

Oui. Je râle, je me plains, je m'énerve, je ne parle pas, je parle trop, j'évoque de trop plaisants châteaux en Espagne, douces chimères, tendres rêveries ; oui je suis pénible, je suis chiante, je dérange, je vous dérange. Oh oui, mon dieu, qu'ils prennent de la place, ceux qui dépriment. Tellement, tellement de place. Ils sont envahissants, mais soyez sûrs qu'ils n'aiment pas ça.

Comme j'aimerais vous dire qu'il n'y a pas plus heureux que moi, que le soleil brille dans le ciel, et que ses rayons réchauffent mon coeur, que l'avenir me tend les bras et que je marche vers lui avec confiance... Comme j'aimerais rentrer chez moi, me sentir à l'aise, raconter une fabuleuse journée à ma mère.
Comme j'aimerais cesser de me poser des questions, des questions qui ne reçoivent que des réponses négatives. Comme j'aimerais trouver les mots pour me tirer moi-même de cette impasse. Je ne sais pas où est passée ma vaine insouciance, ni quand elle a disparu, me laissant en proie à mes doutes, si nombreux.
Plus j'y réfléchis, plus la réponse qui m'apparaît clairement est que de toutes façons, rien n'est plus possible. A quoi bon m'accrocher et jouer, puisqu'au fond, les cartes sont tirées ?

Je n'y crois pas.
Plus.
C'est dommage.

J'en attends trop, j'en demande trop, je suis trop avide, trop gourmande ; forcément je suis déçue, car je n'ai pas déployé tous les moyens dont je disposais pour arriver à mon but.

Chaque échec laisse un sillon brûlant d'amertume sur mon visage. C'est tellement triste de ne pas être capable de retenir toutes ces larmes.

Je crois que le pire, dans tout ça, c'est que je me fais pitié.
Le billet plein d'espoir et de joie, ce sera pour plus tard.